1. |
Résilience
04:15
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S’agirait-il de transformer la douleur en force motrice ?
S’agiterait-on à transformer la couleur en force motrice ?
La sagesse irait-elle transformer la douceur en force motrice ?
Transformer la douleur en force motrice.
Transformer la douleur en force mystique.
Ensemble transformons la douleur en force motrice ...
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2. |
Légende vivante
05:37
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Il fût maintes fois dans moult contrées lointaines,
une légende voyageant à travers l’espace-temps.
Une sensation glissant sur le fil de la vie,
une légende en état de survie.
Mais à l’aurore, alors que les lapins dormaient encore,
les champs de blés s’éveillaient en une douce caresse.
Une rosée de pleine lune, fraîche et désintéressée,
était passée par là dans la matinée.
Et tandis que les feuilles des arbres frémissent en harmonie,
les oiseaux chantent le réveil de la forêt.
Sensation glissant sur le fil de la vie, légende en état de survie.
Quelques biches et sangliers venaient à se retrouver
aux abords des lacs au fond des grands vallons.
Profitant des premiers rayons jaillissant à la cime de l’horizon
dans une teinte de promesse éternelle.
Mais de grandes montagnes aux sommets enneigés
s’envolaient caresser les cumulus et en aspirer les cristaux
provenant de l’eau de là-haut, dans l’au-delà
séant sur le vaste reflet des océans.
Et tandis que les gouttes perlent le long des pentes,
rivières et torrents se forment, abreuvant les outres assoiffées.
Là où la vie prend racine puis s’évade vers les hauteurs,
les arbres grimpent au ciel comme pour y attraper les étoiles,
ces astres enflammés flottant au-dessus de nos têtes et
traversent nos âmes foudroyées jusqu’à la plante de nos pieds
portés par le sol, et notre planète Terre, portée par le Soleil, et notre Univers.
Au cœur d’un paysage qui depuis l’origine nous permet d’exister,
et à l’image de la vie en ces mondes telle l’eau qui se meut et se métamorphose :
Humble humain, bête parmi les ombres,
en ta main naît l’aile de la colombe.
Frères et Sœurs, du printemps à l’hiver,
en vos cœurs ceux de l’Univers.
Peuple d’allégresse, savourant l’instant,
puise ta sagesse dans celle du temps.
Belle humanité, enfant du vivant,
que ta liberté soit celle des vents.
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3. |
Vive est la Vie
04:53
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I love You, what can I do ?
I love You, what can I do ?
La flamme s’avive si la vie veut,
d’une douceur si vive que mon âme s’émeut.
Car c’est en cet ensemble subtil que la fumée des encens
en s’élevant, sublime les beautés du firmament.
Merci à vous Vie, car je pleure et je ris.
En mon cœur clartés et noirceurs me disent que nous faisons corps,
que nous sommes encore au cœur de notre ensemble
tels des enfants dansant et semant la vie.
I love You, what can I do ?
I love You, what can I do ?
En ce vaste horizon insufflant l’inspiration,
si vive est la vie que vivants nous venons.
En ces gestes fluides que nous accomplissons,
visions limpides des vies dont nous rêvons.
Visions limpides des rêves où nos vies vont.
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4. |
Pâte à modeler
05:35
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Est né l’enfant merveilleux
cette pâte à modeler
qui en son cœur généreux
vibre depuis l’éternité.
Né d’une mère protectrice, couvante et dévouée,
chargée de travail et d’amour pour ses enfants.
Elle leur échangeait des francs contre des bonnes notes.
Il a grandi dans ses bras et dans ceux des nourrices.
Puis il a haï sa mère alors qu’il l’aimait en sa chair.
Et il l’a vue pleurer son éducation ratée,
alors qu’il s’était mis à ne pas faire comme il fallait.
Puis il l’a écoutée regretter d’avoir voulu le meilleur,
le meilleur pour ses enfants alors qu’elle fut beaucoup ailleurs.
Le meilleur pour ses enfants alors qu’elle fut beaucoup ailleurs.
Quoi qu’elle ait fait, il l’en remercie ! Elle a toujours été là pour lui !
Quoi qu’elle ait fait, il l’en remercie ! Aujourd’hui eux deux se sont compris !
Est né l’enfant merveilleux
cette pâte à modeler
qui en son cœur généreux
vibre depuis l’éternité.
Né d’un père créateur, mystérieux et curieux,
amoureux de la poésie, de la nature et des grands récits.
Son père lui a ouvert un champ d’exploration infini
avec comme unique guide, ses envies.
Ils partageaient au matin, tartines de beurre et café au lait.
Mais un jour il lui a offert un caillou précieux
pensant que ça l’aiderait à mourir en paix.
Puis il a versé ses larmes dans les bras d’une femme
alors que s’évanouissait dehors son père dans la pluie.
Alors que s’évanouissait dehors son père dans la pluie.
Quoi qu’il ait fait, il l’en remercie ! Il a toujours été là pour lui !
Quoi qu’il ait fait, il l’en remercie ! Malgré ce souvenir non fini !
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5. |
Gen Y
04:28
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Je vais focaliser, utiliser ma voix.
Simplement me parler, ouvrir une voie.
Mon rêve éveillé ...
Oh savoir, mer de connaissances
encore toute remplie encore de vides abîmes,
comparée aux océans gargantuesques
des humanistes gigantesques.
Seul entre les sombres terres, seul au milieu de la claire mer,
je me nourris de ton air, de ta grandeur légendaire.
Oh vent de légèreté, rafales de folies spontanées.
Tu m’invites à chanter et à faire l’amour dansé.
Oh imagination, arbre de la réflexion,
tes branches pleines de rébellion
se mélangent, s’entrelacent en rêve d’évasion
tel un poisson du piège de l’hameçon.
Tu me nourris de ton fruit et me laisses à l’abri de l’ennui,
quand au fond de la nuit je me sens las de la vie.
Oh vagues de liberté, venues des profondeurs innées.
En cette danse cadencée, avant que la mort ne soit née.
Rivalité entre mes rêves et leurs réalités / Rivalités entre leurs réalités et mes rêves.
Rivalités entre ma réalité et leurs rêves / Rivalités entre leurs réalités et mes rêves.
Je veux m’évader maintenant ! Pas attendre ma libération.
C’est trop loin, c’est trop long, je vais mourir dans cette prison.
Je n’ai vraiment pas le temps, je veux m’évader maintenant.
Entre dans ta sphère !
N’aie pas peur de tournoyer d’ouvrir grand les yeux.
Tes ailes portées par l’ether en ton propre univers.
Les couleurs et les formes se mélangent à toute vitesse.
Les sons et les sensations arrivent de nulle part et de partout.
Déploie tes ailes ! Ouvre-les au maximum. La sphère s’agrandit.
Te voilà maintenant dans le mouvement de la danse,
et ta voix élancée dans ce dandinement de l’aisance.
Sens-tu cette intense révolution, l’excitation de ton système heureux ? Sentir ce sourire, se sentir généreux.
Le soleil sur son visage, le bonheur est de présage...
Je vais focaliser, utiliser ma voie.
Simplement me parler, ouvrir une voix.
Soi, se tisse entre terre et ciel.
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6. |
Idée neuve
05:27
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Idée neuve,
comme un fleuve qui ici s’écoule,
comme un voyage qui sent où il se trouve.
Sept grainettes s’infusent en rainettes
et se régénèrent dans l’atmosphère ...
... en une inspiration.
Comme un voyage qui sent, qui sait,
qui est censé être où il se trouve.
Dans une atmosphère aérée de gènes âgés
qui se régénèrent au contact de l’air
et se régénèrent au contact de l’air ... dans l’univers.
Idée neuve,
comme un fleuve qui ici s’écoule,
comme un voyage qui sent où il se trouve.
Neuf nénuphars se diffusent en brouillard
et se régénèrent dans l’atmosphère ...
... en une expiration.
Imaginons un mot ; un mot à l’infini.
Puis tombons dans un puits, le puits de l’oubli.
Imaginons l’alchimie puisée de cette eau dans la terre
et accomplie dans un fruit ... un fruit en vie.
Imaginons, la saveur de la sève, suave et sucrée
éparpillée par le vent dans un champ fleuri
où se délectent les abeilles d’un nectar exquis.
Abondance savourée avec cigales et fourmis
chantant en chœur leur labeur du jour
au sein d’un bois ;
non loin du puits de l’oubli ... de l’oubli.
Dans le voyage du sens s’offrent à chaque pas
une couleur, une odeur, un son, une épice,
une matière, un sentiment, une envie, une vie,
un pas, une utopie et l’esquisse de l’infini ...
L’esquisse de mille autres pas menant tous au trépas,
semant dans les abysses,
la saveur de la vie. ...
Dans la forêt majestueuse et fleurie, la saveur de la vie ...
Posons nous la question ... depuis des générations,
c’est toujours le moment bon, pour passer à l’action ...
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7. |
Ailes
05:28
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Sur le fil de mon cœur danse une fleur
qui chante la bohème avec ferveur.
Ses moult pétales aux couleurs d’étoiles
diffusent des arômes qui inspirent ma toile.
Telle une divine poésie, un songe de printemps,
son énergie enivrante m’émeut vertueusement.
Elle.. à son aise de ses ailes.
Elle.. fleur de sel, lait de liberté.
Elle.. celle-là même qui un coeur ailé a.
Quand par sa magie l’instant se tisse d’or,
un frisson, libre de vivre, vibre en mon fort.
Cette larme s’insert en mon âme où ravie
elle se pâme, harmonise et me réjouit.
En ces sensations et en sa main épanouie
j’ai vu l’éternel, l’humanité embellie.
Elle.. ce sentiment exceptionnel.
Elle.. c’te radieuse tarentelle enjouée.
Elle.. qui les esprits et les cœurs malléa.
Telle la lumineuse liberté, ce doux présage,
cette flamme sacrée s’érige avec courage.
Elle porte à nos cœurs la sagesse des anciens,
l’amour et le respect pour nos prochains.
Celle-là même qui aime avec bienveillance,
insaisissable en sa complète magnificence.
Elle.. née de l’éther éternel.
Elle.. telle l’essentielle voie lactée.
Elle.. ces perpétuels et beaux aléas.
Elle, celle qui vole en mon coeur.
Elle ... la Liberté.
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8. |
Débris de bruits
05:22
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Au sommet de l’église la cloche est muette,
plus personne pour la faire sonner.
Elle ne fera plus frissonner les épis de blé
des champs de la campagne gigantesque.
Les feuilles de rameaux sont bousculées par le vent,
mais elles ne tombent pas ...
L’automne n’est pas encore là,
ce n’est pas l’heure du jugement.
Pas encore le moment,
l’humanité n’est pas complètement éteinte.
Des vies encore, résultats d’étreintes,
restent éveillées en cette fin des temps.
Pas encore le moment,
l’humanité n’est pas complètement éteinte.
De l’amour encore, qui personne n’éreinte,
reste lové en ce commencement.
La bise souffle des bris de bruits ; début de brume.
Le souffle d’une bise brise la pluie ; un cri de plume.
Des cris de buses enflent et induisent des bribes de brume.
Le bruit décrit la bise et brise le cri de l’enclume.
En une nuit noire de suie, un bruit sans prise
broie ce que l’on croit et prise ceux qui suent.
Cette croix nous abuse, essuie cet abîme
et suit ce que l’on noie en un cri sans bruit.
Et vit de ce que l’on voit en un rire d’autrui.
Aussi, cette nuit sans suite, où les bruits épris habitent,
boit ce que l’on croit et pisse ce que l’on sût.
De ce bois qui nous amuse sue un immense abîme
et grime la foi en un fruit sans cime.
Et brime la loi en un bruit sans crime.
Hymne à ce que tu vois, en un objectif sans cible.
Hymne à ce qu’est ta voie, en une vie sensible.
Hymne à ce que tu vois, en un objectif sensible.
Hymne à ce qu’est ta voix, en une vie sans cible.
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9. |
Awmin bialhubi
04:52
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Voulant te connaître, je me suis approché.
Mirant par ta fenêtre, je me suis laissé charmer.
En mon être et mon cœur, ta beauté s’est immiscée.
Dansant avec bonheur, pour l’éternité rêver.
Mais la vie n’est pas ainsi, et je me retrouve ici
loin des joies infinies de ta belle âme fleurie.
Mais l’envie est là aussi, de te retrouver chérie.
Cette histoire n’est pas finie, car je t’aime oh ma folie.
Laisse la douce mélodie, celle qui prend source au fond de ton cœur, emplir l’instant éphémère, d’un infini et profond bonheur.
Laisse ta pensée sans laisse, pour qu’elle file et s’enlace
avec l’instant qui sans cesse, se façonne et s’efface.
Laisse la douce mélodie, celle qui prend source au fond de ton cœur, emplir l’instant éphémère, d’un infini et profond bonheur.
Tout l’amour du monde peut apparaître spontanément
et par une vibration de l’âme,
envelopper la conscience d’une douce apesanteur.
Cette énergie libre et frémissante, d’une force passionnée,
sait transporter toutes les âmes au-delà... de l’au-delà ...
Oh mon cœur, rentre à ta vraie demeure.
Viens dans la maison du cœur.
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10. |
Bonne heure
06:18
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Sur le fil je m’élance simplement face à toi
en ce moment dévoilé à l’instant T.
Sans thérapie douteuse et grand détournement,
je vais te conter comment l’éternité m’a façonné ...
Instantanément, je et je fusionnent
dans les jeux interdits de nos vies
à l’instant T d’un thé à la menthe partagé,
le parfum authentique de la convivialité.
Simplement heureux et en vie. Simplement en vie et ...
Pourtant quand parfois la sucrière a l’air bouchée
et laisse un goût amer à mon thé, alors
c’est à la mort, tu vois, qu’il me vient de goûter,
laissant derrière moi : amour et volonté.
Tristement hors-jeux et en vie. Tristement en vie et ...
Alors face à ce tas de nuages cadencés
ma tête, saisie, s’est retrouvée cadenassée.
Sentiment de solitude sous un ciel enténébré,
mais par le souffle vital vibre ma tonalité.
Maintenant sois jeux et en vie. Maintenant en vie et ...
Partageant mes joies et mes peines aussi,
Amour dans ma vie, je prie pour moi ainsi ;
pour tous ceux qui dans l’envie et l’illusion
ont perdu de vue la beauté du papillon.
Exauçant ce vœu et en vie. Exauçant ma vie et ...
Sans égo bla bla déblatéré, je fais ce vœu chanceux
Sans égo bla bla déblatéré, je fais ce vœu heureux.
Tu es ton propre élève et ton propre maître.
Avance à petits pas et tu exploreras.
Écoute ton cœur te souffler les bons choix.
Danse avec tes peurs et tu les connaîtras.
Alors avance ! Avance à cœur ouvert, avance contre le vent s’il le faut.
Avance avant que la faux ne te fasse regretter
de n’avoir pas exploré les mailles de l’insaisissable liberté.
Des maux pour une humanité éveillée et bienveillante
Des mots pour une humanité chaleureuse et bien-aimante.
Alors oui ! Oui aux expériences heureuses et aux tristes aussi.
Oui aux émotions de l’humain qui se cherche et se recherche sans fin, mais se retrouve enfin face au choix permanent ; infiniment conditionné. Alors ne t’la mets pas à l’envers. Reste droit et fais ta prière à l’Univers.
En ta demeure, fais ta prière à l’Univers.
C’est la bonne heure pour t’orienter vers ton cœur.
Choisis ce que tu feras de ton passé,
sans oublier que demain émane de maintenant.
Toi seul as le privilège de pouvoir faire ce choix.
Avec amour côtoies tes propres peurs.
Unis en toi, les mille et une facettes de toi.
Libéré et bien vivant, force est dans ton cœur.
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11. |
Arbre paradis
05:32
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Il est né d’un hasard heureux, sur une vaste terre fertile,
et sous un soleil vivifiant, enfant des astres bienveillants.
Oh petit arbre paradis, notre bel abri de vie.
Il est apparu comme par magie et a connu une belle vie
faite de passion, de créativité, de respect et de complicité.
Oh petit arbre paradis, notre bel abri de vie.
Puis les astres se sont déplacés et le soleil s’est éclipsé.
La terre s’en est retrouvée gelée et tous les vents doux ont filé.
Oh petit arbre paradis, notre bonheur s’en est parti.
Il s’est essoufflé et endormi car ses racines non nourries.
Puis l’épais feuillage est tombé en l’infinie obscurité.
Oh petit arbre paradis, notre bonheur s’en est parti.
Laissons le temps faire naturellement
et le vivant sous terre, des feuilles mortes refaire.
Laissons le temps être inexistant
et que le vivant vive simplement.
Moult arbres sur le lit de la vie des jolis fruits ont fait mûrir.
Heureusement maintenant cueillis, jouissons de pouvoir tous s’en nourrir.
Car ils contiennent des milliers de graines, qui bien au chaud toutes blotties,
sans une once de haine s’épanouiront ailleurs et ici.
Oh petit arbre paradis, la vie s’est lovée en tes fruits.
Car ils contiennent celles que l’on sème, qui germeront si on les aime.
Des milliers de graines qui s’épanouiront en milliards de graines qui nous survivront.
Oh petit arbre paradis, la vie s’est lovée en tes fruits.
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12. |
Bande de fous
04:04
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L’histoire n’est pas la simplicité et l’harmonie que l’on pouvait espérer, pourtant douceur et jovialité on a réussi à y insérer.
Je me demande alors par quel sale tour on a oublié la beauté de l’univers et où a filé l’abondance d’amour que porte en son sein la Terre ?
Bandes de fous, la réponse je vais taire, car l’expliquer n’est pas mon chemin.
La solution est p’t’être un mystère mais prend vie dans les actes de chacun !
Bande de fous, tout fout l’camp quand nous tous,
Bande de fous, réfutons sa folie.
Bande de fous, l’camp tout fou quand nous tous,
Bande de fous, embrassons la vie.
Bande de fous sous des tonnes de fuel partout naissent des saltimbanques,
et alors que le monde s’enflamme, refusent la tyrannie des banques.
Bande de fous voguant les routes de l’ombre rêvent la lune et cueillent le jour
ou alors restant auprès de leurs arbres, s’arment d’outils et cultivent l’amour.
Bande de fous où tous faisant des choix les chemins se croisent et s’entremêlent.
Chacun suivant sa propre voie tisse de la manière la plus belle.
Bande de fous, apprécions nous tous différents, et sans se juger se rencontrer.
Car nous sommes tous enfants du vivant ne risquons pas de passer à côté.
Bande de fous, tout fout l’camp quand nous tous,
Bande de fous, réfutons sa folie.
Bande de fous, l’camp tout fou quand nous tous,
Bande de fous, embrassons la vie.
Bande de fous dans les champs colorés s’éveille une faune fourmillante.
A l’aube scintillant sous la rosée, prêt à arpenter la pente.
Bande de fous cette mixité mouvante s’activant dès le petit matin.
Diversité faite d’énergies vivantes veut être libre par ses propres mains.
Bande de fous n’est qu’une bande de ravers pour ceux qui n’accueillent que l’malheur.
Nous tous acteurs d’un monde meilleur d’une humanité qui chante en chœur.
Bande de fous, faut être fou pour y croire, pourtant y’a qu’à le concevoir.
Alors faudrait pas se décevoir, sache qu’en nous germe l’espoir.
Bande de fous, tout fout l’camp quand nous tous,
Bande de fous, réfutons sa folie.
Bande de fous, l’camp tout fou quand nous tous,
Bande de fous, embrassons la vie.
Bande de fous, je suis fou de vous !
Bande de fous, embrassons la vie !
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Mysticeti France
Nicolas Besle (alias Mysticeti) est un artiste alchimiste autodidacte.
Musicien multi-instrumentiste, mais
également poète, technicien son, dessinateur, art-codeur et photographe.
Sa musique est tel un tapis volant électro-acoustique tissé de poésie organique et de sonorités psychédéliques.
Une invitation à la légèreté et au lâché prise.
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